Le meilleur du turf
Un joueur, doué d’un jugement droit et éclairé, adoptant une combinaison rationnelle, doit à la longue, en faisant la part de la glorieuse incertitude du meilleur du turf , avoir constamment le « meilleur du turf », récupérer les 11 % prélevés par Le Mutuel, et réaliser largement sa « matérielle ».
Nous pouvons affirmer que les joueurs trop audacieux ou trop impatients qui ne songent qu’à violenter la déesse Fortune courent toujours plus de risques que ceux qui, sachant limiter leurs ambitions, auront la sagesse de se contenter d’un jeu prudent et des modestes bénéfices qu’ils peuvent en attendre avec le meilleur du turf .
Les modalités des paris aux courses se résument en définitive à trois :
Jeu permanent, d’après les pronostics de la presse ;
jeu intermittent, d’après ces mêmes renseignements ;
jeu systématique, en suivant l’une quelconque des méthodes techniques, très différentes entre elles, mais également vantées par leurs commettants.
Nous ne signalons que pour en montrer l’inefficacité et les dangers les méthodes fantaisistes basées sur le dieu Hasard, grand dispensateur au gré de ses fantaisies, de la veine ou de la déveine.
Mathématiquement, le jeu « permanent » sur le favori de la presse, c’est-à-dire à chaque réunion, et dans toutes les courses, se traduit, ainsi que tant d’exemples le prouvent surabondamment, par une perte fatale, du fait du pourcentage insuffisant des arrivées, du rapport peu rémunérateur et de la dîme inexorable de 11 % prélevée par le Mutuel.
Le jeu « intermittent » basé sur la sélection » des courses (parier une ou deux fois par réunions, dans les épreuves semblant présenter les plus grandes chances de succès) met le joueur dans la meilleure situation pour défendre son argent et le faire fructifier.
Les méthodes, qui ne peuvent être jugées et recommandées qu’individuellement, valent ce que vaut l’homme. Il est impossible de les recommander sans en avoir essayé, mais il serait tout à fait injuste de les condamner systématiquement par parti pris.
Faut-il jouer ?
Faut-il ne pas jouer ?
That is the question…
Eternelle question, énigme sans cesse renouvelée que cet autre minotaure, le Pari Mutuel, pose aux sportsmen et aux parieurs, en les menaçant, tel le sphinx, de les dévorer avec leur patrimoine, s’ils ne peuvent en trouver le mot, qui est le nom du gagnant.
CONCLUSION meilleur du turf pour gagner aux courses
Nous avons depuis des années et cela ne date pas d’hier mais de 1986, des méthodes lucratives et très bénéficiaires, et je vais vous donner leur lien et vous pourrez voir de vous mêmes.
Bonne continuation et bon turf et devenez le meilleur du turf !
Donc