La classe d’un cheval
La classe d’un cheval de courses — qu’il ne faut pas confondre avec le cri libérateur des poilus — la sélection sur les origines et le mérite, est la ligne de démarcation bien tranchée qui s’établit d’elle-même entre les chevaux, à la suite des premières courses de l’année. Elle comprend nécessairement un certain nombre de sujets qui ne sont pas exactement égaux entre eux, mais séparés seulement par une très légère différence, souvent d’une appréciation difficile. Malgré une supériorité ou une infériorité relative, les chevaux sont toujours supérieurs aux concurrents d’une classe inférieure. La supériorité est ici intrinsèque, et non individuelle ; elle est indéniable. Un cheval peut être d’une très bonne classe tout en présentant comme individu de nombreuses défectuosités, mais il battra presque toujours un concurrent d’une classe inférieure, si bon qu’il puisse être, pris isolément. La hiérarchie du turf comporte généralement trois classes de chevaux de courses : 1° ceux de première classe (summum de la sélection), c’est-à-dire les quatre ou cinq meilleurs de l’année, les champions, les lauréats heureux des prix les plus importants ; 2° ceux de seconde classe, en général très nombreux, dont le mérite est incontestable, mais ne s’élève pas au-dessus d’un certain niveau moyen ; 3° les chevaux de prix à réclamer (les modestes, les passables, les médiocres), au-dessous desquels la délimitation devient très difficile à établir, les non-valeurs sportives en marquant le terme ultime. Les chevaux appartiennent donc à des catégories déterminées ; un cheval n’est pas dans sa classe, quand il figure avec des adversaires d’une classe inférieure ou supérieure à celle à laquelle il appartient. Dans ce cas, il est « déclassé » ; cette expression s’applique cependant plus généralement, et à plus juste titre, dans le sens propre du mot, à un cheval figurant dans une classe inférieure à la sienne, qu’à celui qui se trouve, au contraire, dans une catégorie supérieure, où il est surclassé. Le déclassement d’un cheval a une extrême importance en course et devient parfois l’objet d’une étude et d’une spéculation. Étant donné et admis, à moins de circonstances toutes particulières, qu’un cheval d’une classe secondaire, quelque bon qu’il soit, ne peut battre un concurrent d’une classe supérieure, on est à peu près certain de gagner, si l’on peut arriver — par des engagements judicieux — à faire figurer un cheval dans une classe inférieure à celle qu’il possède réellement. Pour atteindre ce but, on utilise parfois des moyens d’une délicatesse douteuse pour tromper le public ou le handicapeur, afin que ce dernier, dans les handicaps, donne au cheval des conditions de poids avantageuses. La manœuvre frauduleuse la plus usitée en semblable circonstance est de faire courir plusieurs fois le cheval dans une condition incomplète, de manière à ce qu’il se montre au-dessous de son mérite réel. A la suite de plusieurs sorties où le cheval n’a pas couru sa chance, le public s’y laisse prendre. On engage alors avec la classe d’un cheval « camouflé » dans une course où il ne trouve que des concurrents d’une classe inférieure à la sienne. On dit alors qu’il est « déclassé ». Il n’est pas rare que des propriétaires se faisant une idée inexacte sur les mérites de leurs chevaux, les engagent (classe d’un cheval) constamment avec des adversaires supérieurs. On dit alors que ces chevaux sont « surclassés », ce qui réduit leurs chances de succès à la plus simple expression. Savoir engager les chevaux, éviter de les surclasser est un art où excellent certains propriétaires et entraîneurs. Au point de vue sportif, une question qui a fait l’objet de nombreuses discussions se pose : la forme prime-t-elle la classe ? Selon nous, la supériorité de la classe — la noblesse ancestrale — est indiscutable l’entraînement — si méthodique fût-il — se borne à développer des qualités, des aptitudes, mais est impuissant à les créer. Si le manque de condition peut être atténué, dans une certaine mesure par la supériorité de la classe, la forme, dans bien des cas, est impuissante à suppléer la classe. Associées, classe et forme constituent la dualité indispensable du succès.
Conclusion sur la classe d’un cheval
LES ABONNEMENTS POUR LE JEU COUPLE GAGNANT (CG) / COUPLE PLACE (CP) ET COUPLE ORDRE (CO) A JOUER LA VEILLE OU BIEN COURSES APRES COURSES
100- Nos jeux les plus bénéficiaires EN COUPLE GAGNANT ++JEU COUPLE ORDRE EN 1 COUPLE PAR COURSE, avec 73% de réussite par réunion, rendement on gagne de 2000 à 6000 euros en ne jouant que 1 couplé par course soir au CG CO ou CP
103- ++ OK je le garantis.
Je vous garantis 1000 euros par mois, je vous donne la mise à jouer et la perte à ne pas dépasser dans la journée. C’est garanti de toucher au moins 1000€ par mois. Il comprend entre autre les jeux à jouer la veille + les jeux les plus rentables (course après course) qui ramènent entre 200% et 900% comme les couillons + couplé ordre 600 + couplé ordre 900 + JSG & placé + SUPER COUPLE NOIR ORDRE AVEC NOUVELLE METHODE FLORENT GARANTIT + DE 5000€ PAR MOIS SI ON NE DEROGE PAS A LA REGLE.
WWW.GAGNEAUXCOURSES.COM/catanjeux.htm
104- ++ COUPLE GAGNANT OUTSIDER en 5 combinaisons de 2 chevaux dans la course du tierce, rapport moyen 40 euros, se joue la veille, grosse rentabilité.
105- ++ Logiciels sans pronostics & sans abonnement, constituez vous même la base de données au couplé G P Ordre en 2 chevaux +tierce trio en 3chevaux +multi quarté en 4chevaux.
106- ++ OK NOTRE MEILLEUR JEU le plus bénéficiaire EN COUPLE placé et au 2sur4 :